©MathildaOlmi
Le dispositif Carte culture organise une saison de sorties culturelles avec le journaliste Thomas Flagel. D’octobre à avril, il propose chaque mois d’accompagner une quinzaine d’étudiants à un spectacle (danse, théâtre, marionnettes…) dans un lieu culturel strasbourgeois (Maillon, POLE-SUD, TJP, TNS…).
Après le spectacle, vous échangez en groupe vos impressions et confrontez vos points de vue avec le critique de théâtre autour d’un verre offert au bar ou à l’espace de convivialité du lieu. Dans la mesure du possible, des membres de l’équipe artistique vous rejoignent.
Journaliste, Thomas Flagel, écrit dans diverses publications régionales (Magazine POLY à Strasbourg) et nationales (Théâtre(s), La Scène). Il anime aussi depuis plusieurs années un atelier d’analyse de la création contemporaine et d’écriture critique en Arts du spectacle à l’Université de Strasbourg.
Retour à Reims
d’après l’essai de Didier Eribon / de Thomas Ostermeier
au TNS.
« Retour à Reims » est un essai du sociologue Didier Eribon, paru en 2009. À la mort de son père, il revient à l’endroit où il a grandi et qu’il avait fui trente ans auparavant pour tenter de vivre librement son homosexualité. À travers son parcours et celui de sa famille, il interroge le milieu ouvrier dont il est issu, les rapports de classes et la montée de l’extrême droite. Le metteur en scène Thomas Ostermeier invente un dispositif où une actrice, un réalisateur de documentaires et un ingénieur du son enregistrent ce texte. Du choix des images va naître des discussions : qu’en est-il aujourd’hui des mécanismes de domination et d’exclusion ? Quelles histoires et quelle Histoire veut-on partager ?
Plus d’informations
30 septembre à 20h
TNS – Théâtre National de Strasbourg
Modalités
– Accessible à tous, toutes filières confondues
– Inscriptions dans la limite des places disponibles
– Atelier gratuit, place de spectacle à régler au tarif Carte culture de 6€ auprès du TNS une fois l’inscription confirmée
– La place de spectacle donne droit à une boisson offerte lors de l’After Critique